Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Fin d’une monnaie unique : le précédent tchécoslovaque

08/12/2010 13:06

Fin d’une monnaie unique : le précédent tchécoslovaque


Ce week-end, grâce à Jean-Pierre Gérard, j’ai pu lire un des rapports les plus éclairants sur la faillite à venir de la monnaie unique européenne. Il est issu d’un Institut Allemand sur le Rapprochement Européen, au sujet de la scission monétaire de la Tchécoslovaquie.
Petit retour historique
L’étude à laquelle je me réfère a été rédigée en 1999 par trois économistes. Elle est issue du ZEI, le Centre pour les Etudes sur l’Intégration Européenne de l’université de Bonn, dont je vous invite à visiter le site pour bien constater qu’il ne peut guère être accusé d’euroscepticisme, puisque son objectif déclaré est de « contribuer à trouver des solutions aux problèmes non résolus d’intégration européenne et la construction du rôle international de l’Europe ».
Cette étude revient sur la scission de la Tchécoslovaquie au début des années 90. En juin 1992, les élections législatives produisent un résultat insoluble où, dans la partie Tchèque, une coalition de droite l’emporte alors que dans la région Slovaque, c’est la gauche qui  l’emporte. Assez rapidement, les tchécoslovaques s’entendent pour couper le pays en deux au 1er janvier 1993. Et l’union monétaire qu’ils souhaitaient pourtant conserver se disloque dès le mois de février.
La Tchécoslovaquie n’était pas une Zone Monétaire Optimale
Les auteurs concluent que ce sont des raisons politiques qui ont conduit à la rupture. Mais alors que l’Union Européenne se dirigeait vers la création de l’euro, ils se demandent tout de même si la Tchécoslovaquie était une Zone Monétaire Optimale et s’il y avait un sens à revenir à des monnaies nationales. Ils décrivent donc les trois conditions qui définissent une ZMO : le budget central, la mobilité des travailleurs et la convergence macro-économique. Et, surprise, leur résultat est négatif.
S’il existait bien sûr un budget central, qui assurait des transferts importants, les deux autres facteurs n’étaient pas vérifiés. En effet, la mobilité des travailleurs entre les deux parties du pays était très faible malgré des différences de salaires qui auraient du y inciter. En outre, il n’y avait pas de convergence, les économies ne s’étant pas du tout rapprochées depuis l’après-guerre. Ils notent en revanche que la séparation a contribué à réduire les échanges entre les deux nouveaux pays.
Des leçons pour la zone euro
L’exemple de la Tchécoslovaquie est redoutable pour les défenseurs de la monnaie unique. Voici un pays d’une taille limitée, qui a existé pendant soixante-dix ans, avec un budget commun, et dont on imagine que la convergence était facile. Mais non, ni l’unité budgétaire, ni l’autorité d’un Etat commun et autoritaire pendant si longtemps n’ont permis à la Slovaquie et à la République Tchèque de se fondre en ce que les économistes appellent une Zone Monétaire Optimale.
Ces soixante-dix ans d’histoire commune n’ont ni développé la mobilité de la population ni la convergence des structures économiques. Autant dire que ce qui n’a pas été possible en plusieurs décennies avec un Etat central fort sur un petit territoire est donc totalement impossible à l’échelle d’une zone euro aussi grande et diverse. Même un Etat extrêmement fort et autoritaire ne ferait pas du continent européen ou même d’un petit groupe de pays une Zone Monétaire Optimale.
Bref, la lecture de ce rapport sur la séparation monétaire de la Slovaquie et la République Tchèque démontre que l’aventure de la monnaie unique est décidemment bien hasardeuse. Heureusement les auteurs concluent qu’une sortie de l’euro ne serait ni compliquée ni chère.
Laurent Pinsolle





Il est grand temps de se consacrer à Hénin Beaumont

08/12/2010 10:50

Il est grand temps de se consacrer à Hénin Beaumont


Les rebondissements de  ce qu’il est convenu de nommer l’affaire « Gérard Dalongeville », ont encore l’heure de passionner de nombreux héninois qui nous ont interpellé sur le fait que nous n’en faisions pas mention. Nous leur rappelons une nouvelle fois notre position quand à cette affaire. Nous pensons qu’elle ne concerne qu’un seul homme : lui-même. En ce qui concerne la ville d’Hénin Beaumont, une page est tournée et nous en vivons une nouvelle qui n’annonce pas, hélas, des lendemains qui chantent. C’est à cette page là que nous consacrons notre énergie pour dénoncer les abus et manquement de la nouvelle équipe dirigeante. Et tous responsable politique qui mettrait en avant ces péripéties judiciaires serait à nos yeux suspect, au mieux de n’avoir aucuns projets d’avenir pour la ville d’Hénin Beaumont ou au pire d’utiliser cette affaire comme écran de fumée afin de camoufler ses propres carences !  

 

Comité DLR11ème62 



Commentaire de cimares (09/12/2010 15:32) :

Pas d'accord avec votre réflexion ! D'après mes informations le réseau ancien s'est reconstitué avec des personnes proches du pouvoir local et départemental. Dans ces conditions, la vigilence doit être extrême et en parler ne signifie pas être orienté vers le passé et disposer d'une une carence sur la vision du territoire que l'on peut avoir: Simplement, il faut tenir compte de cet état de fait qui est une contrainte si l'on souhaite bâtir l'avenir et si l'on ne veut plus être abusé par un système qui ne demandera qu'à se reproduire compte tenu du sillon culturel


Commentaire de cimares (09/12/2010 15:33) :

Pas d'accord avec votre réflexion ! D'après mes informations le réseau ancien s'est reconstitué avec des personnes proches du pouvoir local et départemental. Dans ces conditions, la vigilence doit être extrême et en parler ne signifie pas être orienté vers le passé et disposer d'une une carence sur la vision du territoire que l'on peut avoir: Simplement, il faut tenir compte de cet état de fait qui est une contrainte si l'on souhaite bâtir l'avenir et si l'on ne veut plus être abusé par un système qui ne demandera qu'à se reproduire compte tenu du sillon culturel





De l’intérêt des dévaluations

07/12/2010 18:52

De l’intérêt des dévaluations


C’est une des dernières lignes de défense des partisans de la monnaie unique européenne, peut être pas la dernière mais sans doute une des dernières : l’euro nous protègerait des dévaluations au sein de l’Europe. Une nouvelle ligne Maginot à enfoncer.
Fantasmes contre réalité
A écouter les défenseurs de l’euro, le retour aux monnaies nationales provoquerait une vague de dévaluations apocalyptiques, une sorte de retour à l’âge de pierre économique. C’est à peine s’ils n’évoquent pas les famines ou les guerres qui s’en suivraient. En fait, le procédé est assez habile car en affirmant que les dévaluations sont dangereuses, ils parent de facto la monnaie unique de l’avantage de les éviter, par définition. Il faut donc compléter le bilan de l’euro.
Le problème est que le rétroviseur historique révèle une autre réalité. Dans les années 70 et 80, quand les pays européens procédaient régulièrement à des ajustements monétaires (réévaluations ou dévaluations), la croissance était beaucoup plus forte que dans le système de parité fixe de l’euro. C’est ainsi que selon les chiffres de l’OCDE la croissance de la France est passée de 2.3% par an à 1.5% des années 80 aux années 2000 (2 à 0.8% en Allemagne et de 2.6 à 0.5% en Italie).
Bref, les dévaluations n’ont jamais handicapé la croissance du continent européen. C’est bien la rigidité de l’euro qui créé les problèmes actuels. En outre, l’histoire économique montre bien que les dévaluations sont au contraire un procédé pour relancer la croissance. C’est comme cela que la Grande-Bretagne ou la Suède sont sortis de la récente crise économique. La baisse de la monnaie permet de relancer les exportations et pénalise les importations, favorisant la production locale et l’emploi.
Les dévaluations au service de la hausse des salaires
Mieux, en constatant que l’euro comme monnaie unique pousse à la compression des salaires en Allemagne (et bientôt partout ailleurs), on en arrive à la conclusion que les dévaluations rendent davantage possibles les hausses de salaires par rapport aux autres pays. En effet, dans un régime de changes ajustables, si un pays voit ses salaires progresser davantage que les voisins, à gain de productivité équivalent, il perd en compétitivité prix sur les coûts de production.
Néanmoins, il peut à tout moment effacer cette perte par une dévaluation, comme le faisaient les pays du Sud de l’Europe par rapport à l’Allemagne dans les années 70 ou 80. Au contraire, dans un système de change fixe comme l’est l’euro aujourd’hui, il n’y a plus la possibilité de dévaluer pour compenser des hausses de salaires supérieurs à celles des voisins. Résultat, le pays dont l’évolution des salaires est la plus faible gagne en compétitivité par rapport à ses voisins.
C’est le « modèle Allemand », où les salaires stagnent depuis près de 15 ans et la croissance depuis 10 ans. L’Allemagne l’a compris avant car elle avait les coûts les plus élevés de l’Europe à l’origine. Le problème est que si le modèle se généralise, les salaires seront poussés à la baisse, tout comme la croissance. Et il faut noter qu’alors, les gains de productivité ne peuvent plus être redistribués en partie aux salariés, pris dans une course au moins-disant salarial.
Le péril des dévaluations est un fantasme bien utile pour essayer de protéger l’euro. Mais dans la réalité, les dévaluations, si elles ne sont pas dénuées de conséquences négatives (renchérissement des importations…) ont également des vertus, et notamment celle de faciliter les hausses de salaires.
Demain, « Fin d’une monnaie unique : le précédent tchécoslovaque »





Le krach immobilier à venir en France

06/12/2010 18:26

Le krach immobilier à venir en France


J’en avais parlé il y a trois mois, et le sujet commence à apparaître de manière plus marquante dans les médias depuis quelques semaines après la parution de statistiques assez inquiétantes qui indiquent une accélération de la hausse des prix sur Paris.
Le cas parisien
Si le prix des logements s’est stabilisé en Province après la baisse enregistrée en 2009, Paris connaît une nouvelle flambée des prix de l’immobilier puisqu’à la fin du troisième trimestre, les prix étaient en progression de 10.6% sur un an, un rythme qui peut paraître totalement inconsidéré au regard du contexte économique actuel et semble indiquer la formation d’une bulle. Le prix du mètre carré a atteint un nouveau record de 7346 euros contre 2476 euros en 1998, soit un triplement en seulement douze ans !
Ce qui est intéressant de savoir est que les prix avaient atteint un pic de 3845 euros le mètre carré en 1991, ce qui signifie que la précédente phase de bulle immobilière s’était terminée par une baisse des prix de 35% sur sept longues années. Bref, si nous répétons le scénario des années 90, il y aura du sang sur les murs et beaucoup d’investisseurs institutionnels, qui mettent beaucoup d’argent dans le secteur et entretiennent la hausse des prix, se retrouveront très mal.
Bulle ou pas bulle ?
Tout dépend de la manière de regarder les choses. Dans l’absolu, les prix de l’immobilier parisien semblent totalement délirants. Que ce soit la hausse des prix (triplement en douze ans) ou leur niveau par rapport aux revenus, tout semble déraisonnable. Qui plus est, beaucoup de marchés ont récemment connu un krach (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Espagne, Irlande…). On peut donc craindre que la France soit le prochain pays sur la liste noire des krachs immobiliers.
Cependant, il faut tempérer cette analyse par deux éléments : le fait que les taux longs sont au plus bas, ce qui réduit considérablement le prix d’achat d’un bien immobilier. Il serait intéressant de mener une analyse en prix complet avec un emprunt sur 20 ou 30 ans pour bien mesurer l’évolution du coût d’achat et pas seulement du prix. En outre, les prix parisiens sont aussi en rapport avec le statut de notre capitale dans le monde, à savoir une des métropoles majeures de la planète.
Au global, les prix actuels semblent élevés et la situation dangereuse. Toute poursuite de la hausse des prix renforcerait les déséquilibres du marché immobilier parisien. Et une hausse des taux longs significative pourrait alors provoquer un gros krach, comparable à celui des années 90.
Laurent Pinsolle





2 nouvelles étapes du Tour de France de la sortie de l’euro

06/12/2010 18:14

2 nouvelles étapes du Tour de France de la sortie de l’euro


La semaine dernière, Nicolas Dupont-Aignan a poursuivi son tour de France pour la sortie de l’euro. Après l’Alsace il a effectué deux nouvelles étapes dans l’Aisne et dans l’Aube.
Mardi il a rejoint des militants de Debout la République à Saint-Quentin pour distribuer des tracts dans le centre-ville et notamment autour du marché de Noel. Les Picards lui ont réservé un accueil très amical. Mais surtout il a pu noter que les Français avaient embrassé le débat sur la sortie de l’euro. Certes comme les gens lui ont fait remarquer, l’euro est depuis le début une arnaque pour le pouvoir d’achat. Ainsi une dame lui a confié avoir du mal à remplir un caddie avec 100 euros alors que pour 650 francs elle aurait eu de quoi en remplir presque deux il y a 10 ans. Mais les Picards comme les Français se rendent aussi compte que l’euro ne les a pas protégés de la crise.
Lors de son étape à Troyes mercredi, Nicolas Dupont-Aignan qui a distribué des tracts avec des militants troyens sur la place Maréchal Foch, a ainsi pu discuter avec des habitants des effets pervers de l’euro sur l’économie française. Depuis la crise ceux-ci se rendent bien compte que la sortie de l’euro, si elle n’est pas la solution à tous les problèmes, pourrait être l’amorce d’un renouveau. Le discours porté depuis des années par Debout la République et son président commence à trouver un écho populaire et ces tractages et discussions impromptues en sont le révélateur.
Après ces tractages, Nicolas Dupont-Aignan a tenu des conférences de presse. Vous pouvez d’ailleurs retrouver ci-dessous les articles parus dans les principaux quotidiens régionaux de l’Aisne et de l’Aube. Enfin il a profité de son tour de France pour dîner le soir avec des élus locaux.
Ce mercredi Nicolas Dupont-Aignan fera une étape symbolique à Paris pour présenter aux médias le nouveau tract et l’affiche qui illustreront la campagne de Debout la République pour la sortie de l’euro. Puis il poursuivra bientôt son tour de France dans les autres régions du pays.
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Artcle dans L’Union (Aisne)
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Article dans l’Est Eclair (Aube)
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Article dans Libération Champagne








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